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L'auto-stoppeur

Le soleil était encore chaud en cette fin de journée printanière lorsque la voiture de Benoît s’engagea sur la départementale. Le jeune homme faisait le même trajet chaque jour pour rentrer chez lui et la Twingo semblait connaître le chemin. A l’entrée de son village, Benoît eut le regard attiré par un garçon qui se tenait de l’autre côté de la route, marchant à reculons, le pouce relevé. La belle physionomie du jeune mec aurait presque donné envie à Benoît de faire le tour du rond-point et d’aller dépanner l’auto stoppeur. Mais il était déjà tard, assez pour Benoît qui depuis plusieurs heures, n’avait qu’une idée en tête, celle de se dévêtir et de se délasser devant un bon film. Ce fut chose faite une fois rentré dans son appartement : le jeune homme se mit entièrement nu et engouffra dans son magnétoscope une cassette achetée par correspondance, narrant l’histoire aussi coquine que concise d’un groupe de copains en week-end à la campagne. Après s’être masturbé plusieurs fois devant les ébats de ces jeunes éphèbes, Benoît trouva le sommeil qui devait l’emmener jusqu’à une nouvelle journée de travail. Le lendemain, de retour de son boulot, Benoît eut la surprise d’apercevoir le même auto stoppeur. dans l’autre direction. Cette fois, il ne pouvait rater l’occasion de voir de plus près ce qui ressemblait à un beau mâle. La voiture fit demi-tour au rond point pour reprendre la départementale et s’arrêta à la hauteur du jeune voyageur. Il devait avoir une vingtaine d’années, les traits bien dessinés et les cheveux mi-longs. - Tu vas loin ? demanda Benoît après avoir baissé la vitre. - Au prochain village, répondit le jeune mec. En guise de réponse, Benoît ouvrit la portière du passager, invitant ainsi le garçon à s’asseoir dans le véhicule. Après lui avoir annoncé qu’il allait pouvoir le déposer à l’endroit voulu, Benoît apprit que le jeune homme était en stage, qu’il n’y avait pas de transports entre les deux villages et qu’il avait de la chance qu’il fasse aussi beau… Cette passionnante conversation d’auto stoppeur n’empêchait pas Benoît de fantasmer sur les mollets du jeune mec et d’imaginer qu’ils auraient pu s’arrêter sur un chemin de campagne pour laisser parler leur désir réciproque. Mais comme tout ne se passe jamais aussi bien que dans les films pour adultes, la voiture atteignit rapidement le village escompté et le voyageur quitta la voiture en saluant le conducteur, laissant un goût d’amertume dans la bouche de Benoît. Vingt quatre heures plus tard, Benoît n’osait espérer revoir ce beau garçon lorsqu’il s’approchait du fameux rond-point. Et pourtant, aussi bien minuté que le planning de Benoît, l’auto stoppeur était encore sur la route, à la recherche d’un nouveau taxi. Maîtrisant la technique du sens giratoire, Benoît s’arrêta devant le jeune homme qui s’installa en soulignant l’étonnante coïncidence. - Je dois te faire une confidence, avoua Benoît. J’ai fait demi-tour pour te prendre. Je te trouve très sympa et j’ai eu envie de te revoir. - C’est cool, répondit simplement le jeune voyageur. Benoît ne savait plus quoi dire. Il avait déjà fait preuve d’une certaine franchise. - Tu es pressé ? demanda-t-il, inspiré par une réplique de l’un de ses films favoris. - Non, pas vraiment, souligna le garçon. Pourquoi, tu veux qu’on s’arrête ? Benoît, déjà troublé par son propre culot, fut surpris de la question camouflant une proposition. - Bah ouais…, répondit-il, à tout hasard. La voiture ralentit donc à l’approche d’un chemin de terre et s’y engagea, pour finir à quelques dizaines de mètres, entourée de champs et d’arbustes. Les deux garçons se regardèrent un long moment, puis l’auto stoppeur sortit de la voiture et marcha un peu sur le chemin. Benoît le rejoignit assez vite, poussé par un désir aussi violent qu'irrépressible. Le jeune mec le regarda encore un peu puis descendit ses mains jusqu’à son bermuda. Ses doigts fins descendirent la fermeture éclair puis sortirent un sexe épais devant les yeux affamés de Benoît. Celui-ci s’agenouilla devant cette queue magnifique, approcha les lèvres du membre viril et commença lentement à sucer le bel étalon. Le jeune mec semblait apprécier la gâterie : les mains sur la nuque de Benoît, il suivait le mouvement de la fellation, tirant parfois vigoureusement pour accentuer le passage de sa queue dans la bouche de son compagnon. Benoît, ivre de plaisir, avait descendu le bermuda jusqu’aux mollets et caressait les fesses rebondies du garçon, tout en savourant sa pine dure et goûteuse. Au bout d’un long moment, Benoît se releva et embrassa goulûment le jeune mec, tout en sortant sa propre queue, dressée comme un mât. La main du garçon atteignit la verge chaude et la branla énergiquement, tandis que les deux mecs faisaient rouler leurs langues dans un souffle de plaisir. Benoît décida d’ouvrir la portière arrière de sa voiture et y poussa le jeune mec qui s’allongea sur la banquette. Après s’être débarrassé du bermuda, Benoît leva les jambes du garçon, passa le doigt sur son anus puis approcha sa bite en érection. D’un geste lent et précis, il introduisit sa queue dans l’orifice de l’auto stoppeur qui poussa un gémissement. Une fois rentrée, la pine se mit à limer en profondeur, arrachant aux deux mecs des cris de plaisir. Les doigts crispés sur la banquette, le jeune mec appréciait de se faire enculer au beau milieu des champs. Il en profitait pour se masturber et se caresser les couilles. La bite de Benoît continuait de lui bourrer le cul lorsqu’il laissa s’échapper un filet de sperme de sa pine excitée. Voyant cela, Benoît se retira et termina de s’astiquer au-dessus de son compagnon. Un nouveau filet de sperme aspergea le torse du jeune mec, dont les doigts se mirent à mélanger les deux semences avant de les porter à ses lèvres. Sa langue goûta ce nectar intime tandis que l’autre main passait de son sexe à celui de Benoît, au gland encore sensible et rougi par l’éjaculation. Benoît attrapa un mouchoir en papier et essuya le corps de son partenaire. Celui-ci sortit de l’arrière de la voiture et remit rapidement ses vêtements, avant de reprendre sa place côté passager. - On y va ? demanda-t-il laconiquement. Benoît se contenta de remettre le contact, avant de sortir du chemin de campagne. La voiture s’engagea sur la route et déposa l’auto stoppeur à l’entrée d’une petite commune. Les deux garçons se quittèrent dans un sourire complice. Benoît se félicitait de cette rencontre, riant à l’idée de faire chaque soir un demi-tour à l’entrée de son village, sans se douter que les stages aussi ont une fin et que les routes parfois se séparent… © idylle-gay.com

Lun 24 jan 2011 1 commentaire

Les joies du stop et ses surprises ... Mmmm

kiss

stringhom - le 25/01/2011 à 00h47

Cà m'est déjà arrivé

david38