Sublime, non, ce film "rétro" en clair-obscur de couleurs chaudes et ocres, avec deux jeunes garçons aussi merveilleux l'un que l'autre... je parle de la fin, où un "grand" initie un petit
sous la table de leur pupitre en classe, j'imagine ou fantasme, car je n'ai rien compris, mais que d'images "inoubliables" avec ces garçons délicieux: le petit si timide et tendrement conquis peu
à peu par la gentillesse et la beauté et la douceur et l'audace des caresses de l'autre, toutes les images sont belles même les gros plans c'est dire et les visages et expressions,
les pauses, angles renouvelés, et la force de conviction qui émane des "acteurs" dont j'envie l'aventure autant la réelle que l'imaginaire je vois encore le camarade en quatrième à
côté de qui je fus assis une seule fois et que je me retenais de toucher comme un fou sous la table et encore il n'était qu'en pantalon en gym son short si court et ses cuisses nues
jusques au centre nous sèchaient la salive, ses yeux de fille étaient si beaux et il était gentil ; n'avoir rien tenté me paraît aujourd'hui trop impardonable et ce film si beau (et au
début, avec du Chopin s'il vous plait) m'aurait soutiré des hectolitres de sperme à jets mortels à cet âge et longtemps après; j'aimerais savoir qui est le jeune garçon en noir et blanc
fabuleux lui aussi, qui parle, est-ce l'auteur? est-il censé raconter son histoire, celle qu'on voit ? (Il faut décidément que j'apprenne à copier ces films !) (merci, bravo, merci
!...)
Pendant les trois premières minutesthomas - le 08/03/2012 à 01h31
Sublime, non, ce film "rétro" en clair-obscur de couleurs chaudes et ocres, avec deux jeunes garçons aussi merveilleux l'un que l'autre... je parle de la fin, où un "grand" initie un petit sous la table de leur pupitre en classe, j'imagine ou fantasme, car je n'ai rien compris, mais que d'images "inoubliables" avec ces garçons délicieux: le petit si timide et tendrement conquis peu à peu par la gentillesse et la beauté et la douceur et l'audace des caresses de l'autre, toutes les images sont belles même les gros plans c'est dire et les visages et expressions, les pauses, angles renouvelés, et la force de conviction qui émane des "acteurs" dont j'envie l'aventure autant la réelle que l'imaginaire je vois encore le camarade en quatrième à côté de qui je fus assis une seule fois et que je me retenais de toucher comme un fou sous la table et encore il n'était qu'en pantalon en gym son short si court et ses cuisses nues jusques au centre nous sèchaient la salive, ses yeux de fille étaient si beaux et il était gentil ; n'avoir rien tenté me paraît aujourd'hui trop impardonable et ce film si beau (et au début, avec du Chopin s'il vous plait) m'aurait soutiré des hectolitres de sperme à jets mortels à cet âge et longtemps après; j'aimerais savoir qui est le jeune garçon en noir et blanc fabuleux lui aussi, qui parle, est-ce l'auteur? est-il censé raconter son histoire, celle qu'on voit ? (Il faut décidément que j'apprenne à copier ces films !) (merci, bravo, merci !...)