Toujours la "quéquette" (la bite soft si vous voulez, la belle moelleuse) (et puis n'oublions pas l'adorable petit crapeau des couilles...) fera rêver le raffiné : n'est-elle pas toute promesse, oiseau encore mussé dans l'abri très précaire de la culotte... En culotte courte, enfant, en short ado, je jouais tout seul à me stimuler fantastiquement : par le fantasme merveilleux de l'exhiber aux yeux de petits camarades absents, un jour. Puis, l'un d'eux fut présent, qui tout de suite aima ce jeu, montrer à peine et en faisant semblant de rien. Regarde-moi dans les yeux : qu'est-ce donc que tu regardes...  - Je serais toi, je baisserais la jambe me dit-il la gorge serrée. - Tu n'as donc jamais vu.. une paire de couilles fut ma réponse un peu vulgaire - et son silence peut-être bouleversé me rassura : il comprenait quel jeu venait de commencer et il en goutait la saveur inespérée le coeur battant. Que les prolégomènes, à partir de cette pudeur simulée, derrière un entrejambe étroit, furent excitants à prolonger - et même à reproduire souvent, et inlassablement ! Je ne le reçus plus qu'en short, lorsqu'il me visitait, et quand il arrivait il y en avait un pour lui - la cérémonie coeur battant commençait